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LES ROBOTS ET NOUS

LES ACR AUTREMENT
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Syd Mead
Sydney Jay Mead, dit Syd Mead, est « l’artiste qui a illustré le futur ».
Il est né en 1933 aux Etats-Unis et a alors grandi dans un contexte de Guerre Froide, d’avancées technologiques particulièrement innovantes et a assisté aux débuts de la conquête de l’espace. Tous ces évènements ont été à l’origine d’un grand nombre de films et de séries, nourrissant nombre de fictions futuristes et dystopiques, ce qui a par ailleurs beaucoup influencé le travail de Mead.
Syd Mead a participé à l’univers visuel d’énormément de films aujourd’hui cultes et entrés dans la culture générale, comme Blade Runner, Alien ou encore Tron. Il s’inscrit généralement dans un univers de science-fiction néo futuriste, en créant par exemple des véhicules à l’allure particulière et au design avant-gardiste. Il est principalement connu pour son travail qui vise à représenter ce à quoi ressemblerait selon lui notre futur, mais il a aussi participé à la création de designs de robots pour la série japonaise Gundam, plus précisément, « Turn A Gundam ». Pour certains fans de la série, le succès des nouveaux designs des robots aussi appelés « mécha » est mitigé. Le terme « メカ » (mecha), vient d’ailleurs de l’anglais « mécanique », et vise à designer toutes sortes de robots, allant même jusqu’à parler de véhicules ou d’armures robotisées comme nous pouvons observer dans la série des Power rangers.
Il est né en 1933 aux Etats-Unis et a alors grandi dans un contexte de Guerre Froide, d’avancées technologiques particulièrement innovantes et a assisté aux débuts de la conquête de l’espace. Tous ces évènements ont été à l’origine d’un grand nombre de films et de séries, nourrissant nombre de fictions futuristes et dystopiques, ce qui a par ailleurs beaucoup influencé le travail de Mead.
Syd Mead a participé à l’univers visuel d’énormément de films aujourd’hui cultes et entrés dans la culture générale, comme Blade Runner, Alien ou encore Tron. Il s’inscrit généralement dans un univers de science-fiction néo futuriste, en créant par exemple des véhicules à l’allure particulière et au design avant-gardiste. Il est principalement connu pour son travail qui vise à représenter ce à quoi ressemblerait selon lui notre futur, mais il a aussi participé à la création de designs de robots pour la série japonaise Gundam, plus précisément, « Turn A Gundam ». Pour certains fans de la série, le succès des nouveaux designs des robots aussi appelés « mécha » est mitigé. Le terme « メカ » (mecha), vient d’ailleurs de l’anglais « mécanique », et vise à designer toutes sortes de robots, allant même jusqu’à parler de véhicules ou d’armures robotisées comme nous pouvons observer dans la série des Power rangers.

Les Contes d'Hoffmann (1881)
Attablé dans un cabaret, le poète Hoffmann attend Stella, la jeune ballerine qu'il aime. Il évoque alors le souvenir des trois femmes dont il a été amoureux : Olympia, une poupée animée par la magie d'un artisan, Giulietta, une courtisane malicieuse, et enfin Antonia, qui mourut d'avoir trop chanté...
Cette oeuvre est l'une des premières apparition d'une intelligence artificielle, qui plus est dans un opéra. Le poète Hoffmann tombe amoureux de la gynoïde Olympia, qu'il croît réelle. Quand il découvre la supercherie, il est ridiculisé par les spectateurs et les créateurs de la jeune femme qui se moquent de sa naïveté.
En effet, Hoffmann est amoureux d'Olympia, la « fille » du scientifique Spalanzani. Celle-ci s'avère en fait être un automate dont Coppélius, un charlatan, a fourni à Spalanzani les yeux et vient présenter sa créance. Il vend à Hoffmann des lunettes magiques qui lui font voir Olympia comme une vraie femme. Hoffmann se croit alors aimé d'elle mais Niklausse, perplexe, tente en vain d'avertir son ami. Alors qu'il valse avec Olympia, Hoffmann tombe et ses lunettes se brisent. C'est alors que Coppélius qui veut se venger du chèque sans provision que lui a remis Spalanzani, revient et détruit Olympia. Hoffmann se rend compte de la vraie nature de celle qu'il aimait, cependant que la foule ricane de la naïveté du poète.
Ici, la charmante gynoïde est utilisée comme un outil de comique de situation et quiproquo. Cependant, il pose déjà la question du : les androïdes sont-ils capables de sentiment ?
Cette oeuvre est l'une des premières apparition d'une intelligence artificielle, qui plus est dans un opéra. Le poète Hoffmann tombe amoureux de la gynoïde Olympia, qu'il croît réelle. Quand il découvre la supercherie, il est ridiculisé par les spectateurs et les créateurs de la jeune femme qui se moquent de sa naïveté.
En effet, Hoffmann est amoureux d'Olympia, la « fille » du scientifique Spalanzani. Celle-ci s'avère en fait être un automate dont Coppélius, un charlatan, a fourni à Spalanzani les yeux et vient présenter sa créance. Il vend à Hoffmann des lunettes magiques qui lui font voir Olympia comme une vraie femme. Hoffmann se croit alors aimé d'elle mais Niklausse, perplexe, tente en vain d'avertir son ami. Alors qu'il valse avec Olympia, Hoffmann tombe et ses lunettes se brisent. C'est alors que Coppélius qui veut se venger du chèque sans provision que lui a remis Spalanzani, revient et détruit Olympia. Hoffmann se rend compte de la vraie nature de celle qu'il aimait, cependant que la foule ricane de la naïveté du poète.
Ici, la charmante gynoïde est utilisée comme un outil de comique de situation et quiproquo. Cependant, il pose déjà la question du : les androïdes sont-ils capables de sentiment ?
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